Leslie Re24 - Souvenirs – Plaisirs Solitaires De Jeune Fille

Leslie RE24 – Les récits érotiques
Souvenirs – Plaisirs solitaires de jeune fille

Je vis avec ma mère, chez ses parents, et qui m’a donné comme prénom Clara. Elle est tombée enceinte de moi alors qu’elle n’avait que seize ans et mon père, enfin celui qui l’a engrossé, c’est cassé dès qu’il a appris la nouvelle. Ce qui fait qu’elle est restée chez ses parents qui ont continué de l’héberger et ont pris soin de nous. Ils lui ont permis de terminer ses études, ce qui fait qu’aujourd’hui elle a une belle situation professionnelle et nous sommes à l’abri financièrement.
Mes grands-parents ont fait dernièrement des travaux dans la maison, séparant l’espace en deux parties, celle de gauche pour eux au premier étage et la salle à vivre et des communs au rez-de-chaussée, la partie droite un grand salon et une suite parentale pour ma mère et le premier étage une chambre d’ami et un petit studio pour moi et être ainsi indépendante. Ma mère étant souvent en déplacement pour son travail, ils s’occupent de moi en me, laissant toute ma liberté, compte tenu que maintenant ils sont en retraite, ils partent avec leur camping-car quelques jours en me laissant la maison pour moi toute seule.

Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours vu ma mère avec des hommes, même si elle faisait attention à me les cacher et me préserver, mais je me souviens aussi des réflexions de mon grand-père qui ne cessait de répéter :
- Cela ne me dérange pas que tu couches avec tous les hommes de la terre, mais crois-tu que ce soit un exemple pour Clara ?
Et ma mère inlassablement lui répondais :
- Laisse-moi vivre ma vie, j’ai besoin de cela.
C’est ainsi que très jeune, j’ai su qu’elle était une femme de sexe et à hommes, et qu’elle aimait ça. Si bien que je fus curieuse d’explorer et d’en savoir plus de cette face cachée de ma mère. J’ai en premier, dans les instants où cela était possible, commencé par fouiller dans ses affaires pour y trouver d’étranges choses et objets, ainsi que des vêtements que je ne lui avais jamais vu porter.


Intriguée par mes découvertes, mais bien que je sache inconsciemment à quoi cela pouvait servir, j’ai cherché sur internet et j’ai compris que tout cela servait uniquement aux plaisirs sexuels. Très rapidement j’ai su comment m’en servir et pour me familiariser avec ses objets, j’ai commencé en cachette quand elle était absente, à les utiliser et je suis rapidement devenue accroc à ce genre d’objets car ils me donnaient beaucoup de plaisir.
Alors il est tout à fait normal que très rapidement j’ai commencé à confectionner ma garde-robe sexy, et mon nécessaire à plaisirs et aujourd’hui j’avoue avoir une sacrée panoplie, comme des strings fendus ou pas, des porte-jarretelles et des bas, des ensembles assortis et deux paires d’escarpins à hauts talons, mais aussi des godes, des boules de geisha et un rosebud, ma dernière acquisition.

Bien que je sois jeune, je suis une petite dévergondée, en fait, je n’ai jamais été une fille sage, comme chaque parent rêve d’en avoir une, peut-être une question d’hérédité ou l’exemple de ma mère, ou seulement un côté de moi que j’allais bientôt explorer…
Même si j’avoue être dévergondée, je n’en suis pas pour cela une salope, en fait je ne suis jamais sorti avec un garçon, pas plus qu’avec une fille d’ailleurs, mais sur les questions de sexe et des plaisirs solitaires, je suis au top.

Aujourd’hui, j’ai un peu plus de dix-huit ans et j’ai obtenu mon permis de conduire il y a quelque temps et pour mon anniversaire et fêter ma majorité, mes grands-parents m’ont offert une voiture.
Une Opel Cascada, un petit cabriolet qui ne se fabrique plus et dont la côte à chutée, pour une première voiture cette occasion pratiquement neuve, et de plus certainement pas très chère, me donne une véritable autonomie. Avec son moteur essence de cent-soixante-dix chevaux elle peu rouler à plus de deux-cents kilomètres à l’heure, de quoi rendre heureuse la novice que je suis et croyez-moi j’en profite.

Mon corps halé, mince et ma petite poitrine me permettent de m’habiller comme je le veux, vous pouvez comprendre facilement que je préfère les jupes aux pantalons et que je ne porte pratiquement jamais de soutif.
Mes hanches étroites me permettent de mettre des jupes crayons et mes longues jambes sont souvent gainées de bas tenus par un porte-jarretelles.
Avec l’accord de ma mère, je me suis fait tatouée sur le haut du bras gauche, un tatouage simple représentant un motif tribal, mais ce qu’elle ne sait pas c’est que je suis aussi fait tatouer le bas ventre et le bas du dos. Un motif tribal identique de part et d’autre de mon corps représentant des traits enlacée et finnisant en pointe vers le sexe devant et dans la raie de mes fesses derrière, avant de me les faire tatouer j’ai vérifié qu’ils pouvaient être masqués par une culotte standard, sait-on jamais. Et je suis entièrement épilée, ce qui fait que les levers brunes de mon sexe sont toujours apparentes.
Donc vous l’avez compris, les plaisirs solitaires sont vraiment un de mes passe-temps favori. En fait quand je parle de plaisirs solitaires je distingue deux façons importantes pour moi de se donner du plaisir et d’en avoir. Soit en public avec toutes sortes de personnes dans son entourage, les voyeurs pour le plaisir de se montrer ou simplement d’être surprise, dans des lieux publics au hasard de mes déplacements, où alors seule, dans l’intimité de ma chambre avec ou sans objet et parfois aussi seule dans un lieu particulier.

Si je parle de mes plaisirs solitaires en public, en premier c’est de me masturber dans un coin en prenant le risque d’être surprise, puis celui de sortir sans culotte.
J’aime cette sensation et l’excitation que procure d’être nue sous ma jupe, le frôlement du tissu qui me caresse les fesses et le vent qui risque de la soulever au risque de les dévoiler,
Souvent, dans un lieu public, je m’appuie à une balustrade et je fais mine de regarder les alentours, mais surtout, je goûte le plaisir de sentir ma petite jupe crayon glisser vers le haut de mes reins quand je me penche en avant découvrant à chaque fois mes fesses nues.
Et je ne vous parle pas des quelquefois ou l’anus pluggé je pratique le même exercice, à cet instant un rayon de soleil peut faire briller de bleu du bijou insérer dans mon petit cul nu,
J’aime bien aussi l’ambiance des parcs, la nature exhaussant le plaisir, malheureusement c’est plus difficile car il peut se faire qu’un pervers regarde ou mate une jeune fille comme moi habillée en jupe courte, et la suite pourrait être catastrophique pour moi, alors je m’y rends, équipée de mes boules de geisha, pour me promener tranquillement comme une jeune fille appréciant la nature, mais si tous ceux qui me voient dans ces instants savaient le plaisir que me donnent ces petits objets insérer au fond de moi.

Je le fais aussi parfois en me rendant à la fac, mais je mets une jupe plus longue et je fais très attention…
Ayant une petite poitrine je mets rarement des soutifs, cela me donne le sentiment de liberté et m’apporte un certain plaisir quand je sens le regard des hommes s’attarder sur cette partie de mon anatomie. Parfois il m’arrive même de sortir l’hiver seins nus sous un manteau et l’été, quand je roule en voiture, j’aime conduire les seins nus et surtout qu’un automobiliste me surprenne.
Je prends aussi un immense plaisir en conduisant sans string, ma petite robe remontée sur ma taille laissant ainsi mon pubis nu aux regards des routiers, je roule doucement les laissant ainsi me doubler pour constater comment je suis installée, puis les redouble en me faisant klaxonner, je sais à cet instant qu’ils ont tout vu et j’en suis tout excitée.
Mais le plus jouissif, c’est quand la voiture est décapotée et que l’autoroute est vide, alors je double et règle ma vitesse sur celle du camion, après que je sois certaine que le chauffeur m’a remarqué, je me masturbe en le regardant le plus souvent possible… Il faudra qu’un jour j’essaie de faire cet exercice avec un gode.

Toutes les occasions sont bonnes pour me donner du plaisir, mais je fais attention aux endroits glauques tel que les toilettes publiques où les endroits qui craignent, mon plaisir doit être pris dans un endroit qui me plait et m’inspire, mais jamais dans un endroit isolé.

Et quand je ne trouve pas, il me reste l’intimité de ma chambre mais je vous avoue que ce n’est pas pareil…
Même si le plaisir que je prends seule dans ma chambre est souvent intensif, voir violent, m’obligeant parfois à mordre mon mouchoir pour ne pas hurler de plaisir et ameuter la maison, mais il n’y a pas cette peur de se faire surprendre, pas plus que le plaisir de se montrer dans des situations diverses, voir parfois embarrassantes, mais c’est le prix du plaisir.
Pour ce plaisir, j’ai un certain nombre d’accessoires, que je garde secrètement dans ma chambre, principalement des godes.
C’est pour cela, que bien qu’aucun hommes ne m’ai jamais touché et encore moins pénétrés, je ne suis plus vierge de mes orifices et cela depuis bien longtemps déjà…
Mes godes sont de taille raisonnable, car je n’apprécie pas les gros godes comme certaines femmes, je trouve pour en avoir essayé un une fois qu’il distend trop le vagin et ne coulisse assez librement dedans pour procurer toutes ces sensations qui mènent à la jouissance.
Ainsi je peux allégrement me pénétrer soit la chatte, soit l’anus et même parfois les deux en même temps, suivant mes envies.
Je me donne du plaisir ainsi dans ma chambre au moins tous les deux jours, mon premier amant n’aura pas de souci à se faire, il ne me fera pas souffrir car je suis préparée…

A suivre…

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